Les Plaisirs interdits - Productions Belle Lurette
Aller au contenu
Menu principal :
×
Page d'accueil
Direction artistique
Programmation
Saison 17/18
Souper Bénéfice
Chanson gitane
Concert de Noël
Saison 16/17
La Grande Duchesse de Gerolstein
Les Plaisirs interdits
Archives
Nos spectacles
Nos affiches
Revues de presse
Ns joindre
Les Plaisirs interdits
Programmation > Saison 16/17
Réservation:
514.842.2112
Personnages
La religieuse :
Etienne Cousineau
La bonne :
Marie-Josée Corneau
L'enfant de choeur :
David Noel
La bourgeoise :
Jocelyne Cousineau
Le notaire :
David Leboeuf
La jeune fille :
Anne-Sophie Tougas
Le pianiste :
Pierre McLean
À propos des "Chansons paillardes"
Une chanson paillarde est une chanson populaire traditionnelle
aux paroles osées,
à caractère sexuel, ouvertement transgressive,
visant à choquer les bienséances
en violant les tabous
qui ont cours dans la vie de tous les jours.
Les chansons paillardes (souvent appelées « chansons cochonnes ») sont typiquement
destinées à être chantées en groupe,
dans des occasions festives où les inhibitions sont
levées, les boissons alcoolisées aidant.
Elles constituent un très vaste répertoire où coexistent diverses nuances
(chansons libertines, licencieuses, franchement obscènes, jusqu'aux extrêmes de la scatologie
et de la pornographie),
mais qui ont en commun de braver les interdits de façon humoristique.
Parfois, le contenu grivois n'est qu'allusif, avec des mots appelés par la rime mais non prononcés
ou bien suggérés par des coupures de mots.
Les chansons paillardes semblent avoir été de tous temps et de tous lieux.
La tonalité spécifique à l'Europe occidentale du chant paillard est un héritage des Goliards,
clercs dissipés qui n'hésitaient pas à railler et choquer autant qu'il était possible leurs maîtres
et abbés.
Cette tradition (dont est issu Rabelais) s'est prolongée jusqu'à l'époque moderne dans le fait
que les chansons paillardes aiment à brocarder les ecclésiastiques
et que le monde étudiant
est le milieu privilégié où elles se diffusent et se transmettent.
L
es différentes éditions du
Bréviaire du carabin
font autorité pour ce qui est des textes
des chansons paillardes.
Nombre de celles-ci ont des racines anciennes, remontant au xviiie siècle
— grande époque de libertinage littéraire et de fronde anti-religieuse — voire bien avant.
On en connaît qui se sont implantées au Canada sous Louis XIV et ont depuis lors
évolué séparément de leur souche européenne. Les plus anciens recueils imprimés
de « chansons folâtres » datent de la Renaissance.
Xavier Hubaut, directeur de la Chorale de l'ULB, n'hésite pas à affirmer que les paillardes
« sont pratiquement
les seuls témoignages chantés musicaux de la fin du Moyen âge
qui nous sont parvenus ».
La chanson paillarde est singulière par son alliance d'érudition et de grossièreté,
de haute culture et de bas-ventre.
* Extrait de Wikipédia
Page d'accueil
|
Direction artistique
|
Programmation
|
Archives
|
Ns joindre
|
Plan général du site
Retourner au contenu
|
Retourner au menu
Pour utiliser ce site vous devez activer JavaScript.